QUELQUES POINTS DE RÉFÉRENCE IMPORTANTS DE LA VIE DE VINKO SINDIČIĆ
Il est né le 29 septembre 1943 à Stara Baška, l’ile Krk, Croatie. Dans sa ville natale, Stara Baška, il a terminé huit (8) ans d’école primaire.
A la prestigieuse École de Hotel Management, dans un departement spécialisé navael, spécialement conçu pour la compagnie maritime Jadrolinija de Rijeka, il est diplômé comme l’un d’aucuns meilleurs.
Après avoir quitté cette entreprise maritime gastronomique, il s’est rendu en mars 1964 en Italie, à Tirana, dans la province de Sondrio, avec l’intention d’épouser une fille Italienne. Il décide de ne pas se marier. Il rentre dans sa patrie. Afin d’éviter de servir deux (2) ans de service militaire obligatoire dans l’armée populaire yougoslave, en septembre 1964, il a fui à l’étranger par voie maritime, par bateau Partizanka, de Zadar vers Venise. Le 24 décembre 1964, avec la carte d’identité de son ami, un chef italien de Milan, il s’est rendu à Francfort-sur-le-Main, République fédérale d’Allemagne.
En mai 1965, à l’invitation du Dr Branko Jelić, il se rend dans l’enclave de Berlin-Ouest, occupée par les Américains, les Anglais et les Français. En collaboration avec le Dr Branko Jelić, il s’est engagé politiquement, d’abord en RF Allemagne, puis dans le monde entier. De plus, il écrit, édite et publie des journaux, des bulletins, des livres et d’autres types de matériel de propagande politique. De l’enclave de Berlin-Ouest en octobre 1968, il s’installe à Stuttgart, où il poursuit ses activités politiques à un autre niveau.
Enfin, en septembre 1972, pour les circonstances politiques l’ont contraint à rester à Rijeka, en République de Croatie, alors entité fédérale de SFR Yougoslavie. En 1975, Anton Kolendić, chef de la mission militaire yougoslave à Berlin-Ouest, a écrit un livre intitulé “Derrière un assassinat”, une aventure factuelle perverse à Berlin-Ouest, dans laquelle il le décrit comme une figure politique importante opposée au système communiste yougoslave. La préface de ce livre a été écrite par Igor Mandić, une sorte d’idéologue de la réalité communiste yougoslave.
Après cela, il est diplômé en économie et en langues étrangères. En SFR Yougoslavie, il connut un grand succès dans plusieurs secteurs d’activité, ce qui posait un problème pour l’économie planifiée par l’État communiste. Au fil des années d’activités diverses, il a appris à parler huit (8) langues étrangères, dont cinq (5) il parle parfaitement.
En octobre 1988, en tant que mission d’État croate sans retour, il s’est rendu au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord. En avril / mai 1989, il a été poursuivi de la meilleure manière stalinienne sur des preuves fabriquées et accusation faux à Dunfermline, en Écosse. Un tribunal écossais l’a verbalement condamné à quinze (15) ans de prison pour tentative de meurtre de l’émigré croate Nikola Štedul. L’assassinat n’a jamais eu lieu. En vertu de la loi, la totalité de la peine de dix (10) ans de cette peine a été purgée en partie dans la prison de Sa Majesté à Édimbourg, puis le reste dans la prison de Perth en Écosse.
Pendant ce temps, l’establishment britannique a réalisé un film sur cet assassinat présumé légendaire, le décrivant faussement, d’abord en tant que major puis en tant que colonel des services de sécurité de l’État yougoslave. Il n’y avait aucun grade militaire dans ce service!
En novembre 1998, à sa propre demande, il a été extradé vers la République de Croatie pour faire face à une autre accusation fabriquée pour le meurtre de Bruno Busic à Paris en octobre 1978. Après plus d’un an de détention à Remetinec, Zagreb, le tribunal de district de Zagreb l’a acquitté de ces fausses accusations.